Je pratique le massage Tuina, l’acupuncture, la pharmacopée chinoise, mais aussi les techniques complémentaires telles que le guasha, les ventouses, la moxibustion et le Qi Gong.
Consultations en cabinet à ALIX sur RDV, les lundis, mardis, mercredis et jeudis.
171 route du Château de Marzé, 69380 Alix
J’exerce l’Énergétique Traditionnelle Chinoise depuis 2013.
Ma formation initiale a été validée par le DATC, diplôme délivré par la Fédération Nationale de Médecine Traditionnelle Chinoise (FNMTC), dont je suis membre afin de garantir un cadre de pratique rassurant.
Ventouse, Guasha, Tuina
Ce sont des outils de la médecine chinoise.
Leur but : calmer les douleurs, décongestionner, ramener du mouvement dans le corps et l’esprit : En bref, lever les obstructions physiques et mentales !
Les points d’acupuncture
Le corps est parcouru de canaux d’énergie sur lesquels le praticien de médecine chinoise agit pour harmoniser la circulation énergétique dans le corps et ainsi favoriser nos capacités d’auto-régulation.
Le taoïsme, le courant spirituel au cœur de la médecine chinoise, invite à faire un chemin de conscience. Cultiver sa conscience, c’est voir la part invisible de la vie, nourrir son lien à la nature, prendre soin de soi et des autres, cheminer vers plus de simplicité et tout d’abord accepter notre part animale, humaine, avec ses défauts et ses qualités.
Voici une citation qui apportent du grain à moudre à ce que veut dire la spiritualité à mes yeux.
« Ce n’est pas en contemplant la lumière que l’on devient lumineux, mais en portant son regard sur sa propre obscurité, ce qui est beaucoup plus impopulaire, parce que beaucoup plus difficile. »
C. J. Jung
Et j’en profite pour vous proposer une autre citation que j’aime beaucoup :
« Sous chaque “maladie” se trouve l’interdiction de faire quelque chose que nous désirons ou l’ordre de faire quelque chose que nous ne désirons pas. Toute guérison exige la désobéissance à cet interdit ou à cet ordre.
Et pour désobéir, il faut se débarrasser de la peur enfantine de ne plus être aimé, c’est à dire abandonné.
Cette peur entraîne un manque de conscience :
Celui qui en est affecté n’a pas conscience de ce qu’il est vraiment, car il essaye d’être ce que les autres attendent qu’il soit.
S’il persiste dans cette attitude, il transforme sa beauté intime en maladie.
La santé ne se trouve que dans l’authenticité.
Pour parvenir à ce que nous sommes, il faut éliminer ce que nous ne sommes pas.
Le plus grand bonheur, c’est d’être ce que l’on est. »
Alexandro Jodorowsky